Impact de l'immobilier sur le choix des équipements de jardin

[Teech]

Bonjour à tous,

Je suis curieux de savoir si certains d'entre vous ont remarqué une influence de leurs choix immobiliers sur les équipements de jardin, comme les robots tondeuses. Par exemple, lorsque vous investissez dans une nouvelle propriété, quelles sont vos priorités concernant l'entretien du jardin ? Préférez-vous investir dans des équipements automatisés dès le départ ou adaptez-vous vos choix en fonction des besoins spécifiques de la propriété ? Vos expériences et retours seraient très précieux pour mieux comprendre cette dynamique.

Merci pour vos réponses !

[Umbra55]

Je suis curieux de savoir si certains d'entre vous ont remarqué une influence de leurs choix immobiliers sur les équipements de jardin, comme les robots tondeuses.

Mieux que cela, ce sont parfois les possibilités des équipements que influencent le choix de l’immobilier. Il m’est arrivé de convaincre quelqu’un d’acheter une maison plutôt qu’un appartement. J’ai toujours trouvé que généralement les appartements sont chers par rapport aux maisons – surtout à long terme si on doit payer chaque mois pour le syndic et l’entretien d’un ascenseur.
Autrefois la réponse était souvent « oui, mais je n’ai pas le temps de m’occuper du jardin ». Grâce au robot, de nos jours cet argument ne tient plus la route.

[PierMi]

Propriétaire de plusieurs robots tondeurs depuis 2002, mon leitmotiv reste: "en matière de tonte, hors du robot, point de salut".
Propriétaire successifs d'appartement et puis de maison, et inversement, je n'ai jamais envisagé la possession d'un jardin sans prévoir d'en automatiser l'entretien. J'ajouterais qu'en bon voileux, j'aime le temps passé à la mise au point technique. Je ne suis pas partisan du "achète, place, oublie et gueule sur le SAV en cas de problème ", profil correspondant maintenant à la majorité des acheteurs potentiels de ce genre d'équipement. Les choses changent.

J'ai toujours trouvé absurde de "chaque samedi, un œil angoissé tourné vers le ciel, poursuivre à pied durant des heures une hélice affolée enchâssée et mue par un moteur explosif dans des odeurs d'hydrocarbures mal brûlés en essayant de tracer de belles lignes parallèles, le tout entrecoupé de pauses destinées à soulager mon dos et le bac récolteur dont le contenu est invariablement à déposer ensuite dans un parc à conteneurs BE / déchèterie en FR, selon un horaire limité et dans un endroit qui n'est comme par hasard pas situé à proximité de mon domicile".

Mais je compte encore parmi mes amis de nombreux individus -hommes comme femmes- stakhanovistes du brin d'herbe, abrutis professionnellement, qui y trouvent l'occasion de concentration / de faire le vide après une journée de boulot.
Perso, la voile ou la lecture, ou... (c'est plus intime) me semblent un meilleur dérivatif. Ne dit-on pas, "comme on fait son lit, on se couche" ?